dimanche 30 décembre 2007

Sydney




Vous attendiez de nos nouvelles, mais en dehors de Sydney point de connexion Internet. A Sydney, c’est très difficile d’en trouver, peut-être qu’il y a moins de demande que dans les états plus retirés et moins peuplés.
Aujourd’hui nous en avons repéré et nous nous y rendrons demain pour vous envoyer de nos nouvelles.
Sydney est une belle et grande ville, grouillante et animée, mais on s’y perd pas mal en voiture. Il y a beaucoup d’ethnies représentées mais surtout asiatiques et indiennes en dehors des australiens de souche. L’architecture est assez moderne dans le centre mais se mêle agréablement à des immeubles de styles plus anciens : victoriens par exemple.
Peut-être est-ce dû au temps, mais nous apprécions davantage Sydney que Melbourne qui nous a parue oppressante et moins vivante. Pourtant les guides ne donnent pas la même appréciation !
Les autoroutes qui traversent Sydney sont souvent gratuites mais parfois des tronçons très courts sont payants, c’est surprenant.
La journée de visite a été très chaude, nous nous sommes limités au quartier des Rocks : ancien quartier sordide réhabilité avec des petites rues étroites, des galeries marchandes et un marché artisanal et au quartier de Darling Harbour plus moderne avec es parcs d’attraction dont un super IMAX ou Jérôme et Matéo sont allés voir un documentaire sur les dinosaures en 3D (Matéo a parfois eu peur !!)
Non loin de là le célèbre pont en cintre : Sydney Harbour Bridge qui relie la rive nord et sud de la baie. Ce pont se visite, chacun à la queue leu leu relié à une ligne de vie.
Nous avons aperçu aussi l’Opéra mais ce sera pour une autre visite.

Suite aux prochains numéros

Scène de ménage et Nord Sydney



Il fait chaud … enfin ! Disons c’est le temps auquel nous nous attendions principalement.
Devant nos chalets il a une grande piscine, les enfants peuvent s’y amuser, entourés des parents vigilants.

Ce matin (de vendredi) avant notre départ pour la côte nord de Sydney, nous avons assisté à une sérieuse scène de ménage entre Justine et Esteban, chacun ayant son caractère, personne ne veut céder. Un jeu que l’on ne veut pas prêter et la dispute commence « Tu es méchant » « non c’est toi la méchante » « Quand j’irai à l’école, je serai plu forte que toi ! » « Moi aussi je vais aller à l’école et puis je te mettrai à la poubelle » « non, c’est toi qui ira dans la poubelle » ….etc.
La scène a duré un certain temps sous le rire masqué des parents.

La visite de la côte nord, nous a menés vers Palm Beach qui comme son nom le fait entendre est une station huppée des environs de Sydney, nous avons vu évoluer des dauphins sur la mer de Tasmanie. Après un pique-nique près de la plage, certains se sont baignés (Yannick, Jérôme et Matéo) dans les rouleaux.

Nous sommes redescendus sur Manly et là, on ne sait si c’est la suite de la scène de ménage J : les 2 voitures ont divorcé ! nous avons perdu notre pilote qui était Jérôme et chacun à continué sa route de son côté.
Pour notre part, nous avons vu Sydney de la petite pointe de Manly et de North Head.
Jérôme et sa suite ont visité les rues piétonnes de Manly.

Blue Mountains


Excursion dans les Blue Mountains !
Sous le soleil, c’est beau et elles portent bien leur nom. Couvertes d’eucalyptus, les gouttelettes d’huile qui s’en dégagent lui donnent cette teinte avec des dégradés.
Nous avons surplombé des chutes : Wenworth Falls, puis les calédoniens et Yannick ont visité des grottes : Jenolan Caves et en sont revenus enchantés.
Retour le soir à Katoomba pour voir sous la lumière du coucher de soleil « The Three Sisters » qui sont 3 rochers presque identiques dont la légende aborigène du temps du rêve dit que ce sont les 3 filles d’un chef de tribu, qui les a métamorphosées en pierre de peur de les voir enlevées par des pillards.
Comme il était tard, nous avons soupé sur place dans une pizzeria assez rocambolesque. Les enfants avaient droit à un morceau de pâte et un rouleau pour les faire patienter en s’amusant. Les clients apportaient à boire et à manger, l’épicerie en face y voyait son profit, leurs couverts aussi, et on commandait la pizza familiale ou plus petite, ou pâte et salade. Le service était long bien que le client allait passer sa commande en payant d’avance. Nous n’avions, au début, qu’une chaise pour 2 tant il y avait de monde. On ne vous parle pas des toilettes : elles avaient aussi leur particularité (dans le jardin et assez spartiates).

NOEL !




C’est Noël, les enfants qui dormaient ensemble se sont levés de bonne humeur car le père Noël a dû passer, mais pas dans leur chalet : la porte était barrée !
Pas de sapin mais des cadeaux recouvraient la petite table dans l’autre chalet ; WOUAHHH WOUAHHH !!
Les yeux étaient grands !
Chacun des enfants a eu sa part de jouets, ce qui n’a pas empêché les chicaneries quand l’un prenait le jouet de l’autre.
Mais le père Noël s’est approvisionné en Australie car les jouets qui parlent le font en anglais !

Sydney – Vineyard




Lundi
Après à peine 1 h d’avion, nous sommes arrivés sur Sydney, le temps semble plus « normal ». La circulation dans Sydney est plus difficile qu’à Adélaïde mais nous avons atteint Vineyard quand même (notre lieu de camping) à 60 km environ vers 18h20.
Nous avons 2 chalets côte à côte.
On nous a renseigné un magasin ouvert jusque 22 h à 10 km de là : nous allons pouvoir agrémenter les spaghettis !

Soirée de Noël :
Au menu :
toasts au saumon et truite fumée,
steaks grillés,
brochettes de poulet au curry,
salade
brie d’australie
glace (écoeurante)

Tous les produits sucrés, gâteaux, glaces et chocolat…. sont « dégueulasses » (mais ne répéter pas ce que je viens de dire à Esteban, il va me chicaner )

lundi 24 décembre 2007

Scoop !



Sur Philips Island, nous avons retrouvé les 3 koalas dont avons affiché la photo sur notre blog, les mêmes exactement, ne trouvez-vous pas ?



JOYEUX NOEL A TOUS !

Etrange découverte dans le désert !


Etrange découverte dans le désert !

Nous avions oublié de vous dire que nous avions perdu Gérard dans le désert, désespéré d’être assailli par les mouches, il est parti seul et sans carte dans le désert du Red Center sur une moto.

Nous venons de recevoir des nouvelles, il a été retrouvé mais dans quel état le pauvre ! Les mouches se sont régalées semble t’il.

Ayez une petite pensée pour lui ….

C’est une blague a déclaré Esteban !

Werribee - Melbourne


A la requête de Jean parlons des australiens.

Les aborigènes, peuple premier de ce continent, sont surtout dans le Nord, le centre et éparpillés dans quelques réserves dans le sud et ailleurs.

Nous les avons rencontrés principalement dans le Red Center, ils nous paraissent indifférents à la présence des touristes sauf ceux qui mendient. Nombreux sont ces derniers à Alice Springs, le chômage, la boisson, la misère paraissent être leur quotidien.

Il y a ceux qui ont œuvré pour la reconnaissance de leur existence et de leur culture, comme lors de la visite du centre culturel d’Uluru, ils ont travaillé pour faire connaître leur mode de vie, peuple de chasseurs-cueilleurs, ils ont vécu des ressources naturelles.

Certains, peu nombreux, ont grimpé dans la hiérarchie sociale et occupent des postes dans la vie australienne en adoptant un nouveau mode de vie.

On en a rencontré dans le Ghan (train ) mais ils sont très distants.

Quant aux australiens non aborigènes, ils sont accueillants mais peut-être un peu moins que les québécois. Dans les villes comme Adélaïde, Melbourne, on a rencontré et discuté avec des personnes qui s’enquièrent de notre origine et de notre tourisme dans leur pays. Mais il semble que la France leur soit assez lointaine. Nous avons rencontré 4 ou 5 personnes qui parlaient le français.

Il y a différentes ethnies en Australie et principalement des asiatiques qui semblent bien s’intégrer.

Dans les points touristiques on a rencontré principalement des japonais, ou asiatiques mais aussi quelques indiens.

Suite du voyage :

Sommes arrivés jeudi au camping de Werribee à 40 km de Melbourne. La chaleur n’est pas au rendez-vous, il y a des trombes d’eau qui tombent, un vent à écorner les bœufs.

Vendredi nous avons fait les courses pour le Père Noël dans une galerie commerciale : c’était démentiel dans le gigantisme du temple de la consommation !!! Même les québécois semblaient étonnés.

Samedi visite de Melbourne sous une pluie battante, un tour en tram et les enfants ont eu le droit d’aller dan la cabine du conducteur et d’actionner la cloche : ils étaient fiers nos petits !

Le goûter s’est fait dans une chocolaterie tenue par un français de notre connaissance : enfin des pâtisseries fines et délicieuses, cela change des gâteaux étouffants et écoeurants de crème dégoulinante.

La nuit qui a suivi a été glaciale, nous avons gelé dans nos lits, n’étant venus équipés que pour les grandes chaleurs. Le matin nous avons allumé le four pour réchauffer la pièce et nos os.

Nous avons rencontré 2 françaises qui sont en Australie depuis 6 mois et n’ont connu que 15 jours de soleil ;-((

Dimanche, virée à Philips Island, le soleil était présent mais point de canicule, nous avons pu photographier nos 3 koalas, filmer 2 étranges kangourous mâles étranges qui se poursuivaient et une femelle qui tentait de les imiter J

On essaiera plus tard de vous afficher la vidéo (mais pour le moment les accès internet ne nous permettent pas de prendre assez de temps pour le faire).

Cette île a un certain charme, de belles résidences secondaires, de superbes points de vue et des observations animalières malheureusement payantes : le porte monnaie doit être bien garni !

Nous aurions aimé rester le soir au coucher du soleil au retour des pingouins mais cela faisait trop tard pou nous car il fallait compter plus de 2 heures pour le retour.

Nous nous sommes contenté d’observer de loin les otaries par milliers à se prélasser sur un rocher et les mouettes qui nichaient et élevaient leur progéniture.

Demain nous reprenons l’avion pour Sydney et il y a de grandes chances qu’au réveillon de Noël nous nous contentions du menu : spaghettis bolognaises !

Mais nous ne nous en plaindrons pas.

Bon Noël à tous, nous penserons à vous et surtout au gueuleton que vous allez faire J

A bientôt

Cléo

vendredi 21 décembre 2007

Eponge a recurer !!


Blue Lake

Un bref arrêt au sommet d’un volcan déchu nous permet d’admirer le Blue Lake qui a squatté le cratère qui s’y trouve. En bon touriste, je consulte les écriteaux pour éclairer mes petites lanternes. On y apprend que le lac alimente en eau potable la ville de Mont Gambier, qu’il se regénère à même la nappe phréatique à tous les dix ans, et qu’il change de couleur brusquement chaque année dans le mois de novembre passant du gris au bleu azur, surnaturel. La question qui me turlupine depuis le début demeure sans réponse : « Qu’est-ce qui donne cette couleur bleue au lac ? » Me doutant que la réponse ne plairait pas aux touristes, je suspecte que l’omission soit volontaire. Claudine me cite un humoriste français rebuté par les eaux bleues cristallines qui dit refuser de se baigner dans du nettoyant à cuvette de toilettes. Ça fait réfléchir.

Koala bionique ou photographe gériatrique ?

Sur la route de Portland, nous croisons fortuitement un koala qui se réchauffe le postérieur sur le bitume de la route. Je saute sur les freins pour que nous puissions l’admirer et le photographier. Nous houspillons Gérard pour qu’il se précipite avec son appareil numérique. Une chance pareille, ça ne se rate pas.

Malgré le fait que le koala dort 20 heures par jour et que les heures restantes sont partagées entre les activités fort reposantes que sont la mastication et le grattage de fesses, il s’avère que le koala a le dessus sur Gérard en termes de rapidité. Avant même que ce dernier ait le temps de mettre ses lunettes, le koala a les jambes à son cou et grimpe agilement au premier arbre venu. Gérard reste pantois et nous déçus. Voilà une image qu’il nous faudra garder bien en mémoire.

Éponge à récurer

Et pour ceux qui se demandent encore quel est le lien avec le titre de ce blog, le voici. Je vous annonce, non sans une pointe de honte, que j’ai ajouté une frasque à mon palmarès. J’ai rayé la Toyota Camry toute neuve que j’ai obtenu en location à Adélaïde (elle avait 1000 km au compteur). Si ça n’était que cela, il n’y aurait pas de quoi blogguer mais la gaffe ne s’arrête pas là. Sachant à quel point les agences de location de voiture peuvent être pointilleuses sur l’état des véhicules lors du retour, je décide d’agir afin d’éviter de payer une réparation. Rempli de bonne volonté j’entreprends de laver la zone rayée dans l’espoir qu’il ne s’agisse que d’une saleté, ou bien que le lavage n’en atténue l’apparence. Au séchage, je constate avec horreur que la situation s’est dégradée. L’éponge à récurer que j’ai utilisée pour le nettoyage a laissé derrière elle des rayures en forme de spirale. J’apprends, tout penaud, que les voitures neuves sont capricieuses et que leur peinture est recouverte d’un vernis dont la dureté m’apparaît tout à coup fort symbolique. Mon stress monte d’un cran lorsque Claudine et Gérard constatent le désastre et ne semblent pas d’humeur à reconnaître l’intention louable derrière le geste mais plutôt à critiquer le résultat. Suivant leurs conseils, je finis par réchapper partiellement la gaffe en appliquant une crème à polir achetée au garage du coin. Espérons que l’inspecteur de la location souffrira d’une infection des rétines à Melbourne. À suivre.

Portland - Werribee - Melbourne


Jeudi :

Nous reprenons la route vers Melbourne. Nous faisons la « Great Ocean Road », une route superbe qui longe l’océan bleu qui contraste avec les falaises calcaires jaunes, friables. Côte très découpée offrant à la vue des arches, des voûtes, des aiguilles, des « pinnacles », des rochers percés… dont les célèbres 12 apôtres qui ne sont plus que 11 depuis l’effondrement d’un des rochers.

Encore une fois, nous n‘avons pas eu chance de voir ce spectacle sous le ciel bleu !

Après une route très sinueuse, nous avons atteint Werribee (40 km de Melbourne) où nous allons passer 4 nuits.

Les 9 marsupiaux vous souhaitent de bonnes fêtes de Noël

Cléo

Beachport - Portland


Mardi :

La nuit a été très reposante, cela a fait du bien à tous de dormir sur de bons lits.

Un petit tour au bord de mer de la station de Beachport avant de partir vers Mount Gambier. Nous y avons passé un excellent moment. Cette ville a été érigée sur les vestiges d’anciens volcans. Le plus grand cratère « Blue Lake » est remplie d’une eau bleu lagon, comme si on y avait versé du bleu pour les toilettes - comme dans le sketch de Dany Boom ;-)) -
Il sert de réserve d’eau pour la ville.

Le second « Valley Lake » contiguë est moins rempli et son eau n’est pas bleue mais il est entouré de parcs, équipé pour le pique-nique et agrémenté de jeux pour enfants. Nous y avons déjeuné au son des cigales : jamais vu autant, les arbres en étaient recouverts et je ne vous dis pas les décibels supportés par les oreilles !

Quant aux mouches, elles nous poursuivent depuis le début du séjour, difficile de les supporter, on passe son temps à agiter les mains, elles vous rentrent dans les narines et les oreilles : Nelly commence à comprendre pourquoi Jackie s’était équipée d’un chapeau avec moustiquaire.

Après une récréation pour les enfants dans le parc de jeux où Esteban et Matéo ont pu entreprendre des travaux de terrassement avec mini bulldozer et tapis de transport, nous avons passé un superbe moment et fait le plein de photos de kangourous, wallabies, serpents, oiseaux….

De part et d’autre de Mount Gambier des hectares et des hectares de sylviculture : des coupes à blanc et des re-plantations.

Sur la route nous menant à Portland, un koala nous attendait assis sur l’autre voie de la route !!! Attendait-il que l’on passe pour traverser ? Faisait-il du stop ?

Nous avons envahi notre location pour 2 nuits au bord de mer : une maison équipée de 4 chambres avec 19 lits, une immense pièce commune avec cuisine, 2 salles de bain et une véranda.

Mercredi :

Journée relax, mais une petite virée sur Port Fairy et Tower Hills

Port Fairy : petit port sympathique qui a été le lieu d’une histoire pour nous

J’avais préparé une enveloppe avec des dessins des enfants pour envoyer à Titite, Justine a voulu porter l’enveloppe alors que nous nous promenions sur une petite jetée. Est arrivé ce qui devait arriver, Justine a lâché l’enveloppe et elle est tombée dans l’eau au pied d’une digue très pentue. Jérôme a voulu récupérer l’objet, il y est arrivé, l’a tendu à Yannick qui ne l’a pas attrapé et l’enveloppe a replongé. Jérôme a réitéré mais cette fois il a glissé et est tombé à l’eau, chaussures trempés et pantalon mouillé. On abandonnait l’idée de récupérer cette lettre et un jeune australien qui pêchait là a voulu la récupérer avec sa canne à pêche mais peine perdue. Finalement il a fait comme Jérôme : descendre le long de la digue. Hourra ! il y est parvenu, on l’a remercié de tout cœur. J’ai dû jeter l’enveloppe complètement trempée mais sauvé les dessins qu’on postera plus tard.

Après le repas, direction Tower Hills, un cratère encore, avec des animaux endémiques. Il y faisait atrocement chaud, les mouches encore plus assaillantes que d’habitude : un enfer pour tous !

Nous avons abandonné la marche à pied dans ce parc, le temps de voir des kangourous et les émeus et de finir en voiture.

Adelaide - Beachport


Lundi :

Nous avons quitté Adélaïde après avoir visité le centre ville au caractère architectural très « British », ville très agréable ceinturée d’immenses parcs.

Nous avons pris la route de Beachport, en passant par le parc de Coorong : une lagune séparée de l’océan par un ruban de dunes sur 180 km : de nombreux oiseaux, pélicans, tadorns australiens…

A Kingston, un port de pêche aux homards, nous avons fait un extra : du homard pour le dîner !

Robe, est aussi un charmant petit port, l’océan y était d’un beau bleu.

Beachport : un motel de bon confort, nous attendait, 2 appartements très bien équipés.

Nous avons fait un excellent repas : fish and chips pour les enfants, homard pour les parents arrosé d’un vin blanc australien.

dimanche 16 décembre 2007

Adélaïde et la tribu au complet


Nous avons retrouvé toute la tribu comme prévu. Nous avons pris nos bungalows dans le parc de Bélair à 10 km d’Adélaïde.
Le parc est rempli d’animaux et c’est là que nous avons pu observer des koalas perchés dans les eucalyptus et une quantité de perruches multicolores et bien d’autres espèces que nous mettrons dans notre galerie de photos prochainement.
Les retrouvailles des cousins a été drôle ! Justine a semblé très déçue de son cousin : peut-être trop grand par rapport à son imagination. Matéo et Esteban se sont fait la bise.
On part visiter la région et demain on fait route sur la côte sud.
Nous avons froid !!!! C’est bizarre quand même.

Aujourd'hui il fait beau, sommes alles sur la cote sud d'Adelaide. On part pour la suite demain
Bisous à tous de la tribu.
Cléo

vendredi 14 décembre 2007

Red Center : le retour !

Mercredi à Alice Springs nous avons mis à jour notre blog sans avoir eu le temps de le préparer et de le mettre sur une clé USB pou le transférer à moindre coût dans un point Internet. Revenons donc sur notre circuit dans le Red Center.

Dimanche :
Arrivée à Alice Springs, après voir récupéré le4x4, fait les provisions pour 4 jours dans le désert (beaucoup d’eau, de quoi faire des salades et sandwichs), partons nous mettre à l’ombre et au frais en explorant Simpson Gap pensant y trouver une rivière pou nous rafraîchir. Nous trouvons en fait unit de rivière à sec (comme la plupart) ici. Nous nous sommes consolés par l’observation d’un Black-footed Rock Wallabie (sorte de kangourou des rochers assez rare).

Lundi :
D’Alice Springs à Uluru en 4x4 nous avons traversé 440 km de désert (terre rouge recouverte d’arbustes bas, d’herbes de rocaille, d’arbres inconnus pour nous, sans monotonie, car la densité, les variétés changent ). Nous espérons voir des kangourous (vivants) sauter derrière chaque buisson, que nenni ! Que quelques kangourous écrasés au long de la route ! Beaucoup de vaches en liberté..
Le seul village sur la carte à 350 km d’Alice Springs : Curtin Springs.
En fait il s’agit d’une famille qui a de multi activités : station service, bar, épicerie, restaurant, location de chambres et bungalows, camping (gratuit ou payant), éleveur de bétail et recueille les oiseaux blessés. Ils n’y vendent pas de pain parce que trop cher nous ont-ils dit
Avant notre arrivée à Yulara , le village créé pour les touristes où nous trouverons un camping, nous avons observé un aigle australien et un Tinka (gros lézard orangé que dégustent les aborigènes).
Nous partons à la découverte d’Uluru - entrée 25$ par personne pour 3 jours - : il fait beau et le soleil met en valeur le grès roue de ce monolithe, il nous fascine par sa forme, ses infractuosités et sa présence inattendue dans le désert qui l’entoure. Après le dîner, nous y retournons pour assister au coucher du soleil. Nous sommes obligés de nous positionner sur le parking prévu à cet effet. En fait le soleil est caché derrière les nuages et une éclaircie nous fera bénéficier, un court instant, du spectacle lumineux, donc peu de photos pour immortaliser ce moment.

Mardi :
On se réveille sous la pluie, on se dépêche de plier le matériel avant que tout prenne l’eau. Direction, le centre culturel d’Uluru qui nous informe sur le mode de vie des aborigènes.
Départ ers les monts Olga : Kata Tjuta, encore plus impressionnants mais nous n’en aurons qu’une vision restreinte (la pluie, le vent, le froid….).
Il parait que nous faisons partie des rares personnes à avoir vu Uluru et Kata Tjuta sous la pluie : nous sommes vraiment chanceux !!!!!!
La pluie redouble, nous abandonnons le circuit prévu vers Kings Canyon. Décidons de remonter sur Curtin Springs. Le « free camping » n’est recouvert que de terre rouge et avec notre tente posée à terre, cela risque de devenir inconfortable voire catastrophique.
Pour Léti et Yannick et Esteban, c’est moins gênant du fait que la tente est sur le toit.
Nous faisons la location pour 60 $ d’une chambre pour nous 2 (genre container) avec 1 lit et 1 poubelle, la lumière du voisin passe par les fentes de la cloison, les bruits aussi ;-))
La pluie redoublant, les québécois dormiront sur les sièges du 4x4.
Les gérant sont peu accueillants, ils nous menacent d’une pénalité de 100$ si l’on mange dans la chambre. On ne pourra donc prendre Esteban avec nous. Il a plu des cordes pendant au moins 2 heures.

Mercredi :
Réveil à 6 h et nous rejoignons les occupants du 4x4 réveillés, ils ont dormi malgré le peu d’espace. La pluie nous a lâchés. On se lance sur une piste pour 4x4 en direction d’Henbury Meteorite Craters.

Juste avant la piste, un kangourou poursuivi par un dingo traversent la route juste devant le 4x4 …. Quelle émotion ! Enfin notre premier kangourou et dingo.
Sur la piste, Yannick s’en donne à coeur joie, en position 4 roues motrices !! Youuu youu !!
Les ornières, la poussière !!!
On verra des dromadaires sauvages.
Nous arrivons pour midi au site des météorites. Une chaleur étouffante et les mouches nous assaillent. Une petite promenade apéritive pour admirer les cratères de plus de 4000 ans suivie d’un repas que nous envient les mouches. Retour sur Alice Springs et son centre ville en quête d’un point Internet d’où nous avons envoyé le dernier message. Nous allons boire un verre au fameux Bo’s Saloon : un pub comme au temps des pionniers (www.bossaloon.com.au), la décoration est sublime, nous vous ferons une petite galerie de photos.
Beaucoup d’humour dans les toilettes : poignées mises du côté opposé de l’ouverture, les robinets d’eau font couler l’eau d’un autre lavabo et une lumière bleutée fait apparaître les mains noires là où on a mis du savon ;-))
Retour au même camping qu’il y a 3 jours.

Jeudi :

Rangement des bagages, retour de la location du 4x4, départ vers la gare. On prend le Ghan pour un voyage de 25 heures sur 4 fauteuils inclinables pour 1400 km vers Adélaïde (vitesse 85 km/h), on a le temps de voir le paysage.

mercredi 12 décembre 2007

Outback 2

Outback

L’Outback est auréolé de mystère. Ses habitants aborigènes, dont le destin comporte d’énormes ressemblances avec celui de nos Première Nations nord-américaines, se livrent difficilement aux regards étrangers. Je perçois leur détresse à travers des signes qui ne mentent pas. Les nombreuses bouteilles de bière qui jonchent les bas-côtés, les totems érigés à partir de canettes vides sur des squelettes d’arbres morts, des panneaux gouvernementaux interdisant l’alcool et le matériel pornographique ponctuent notre périple.

Nous croisons une voiture bleue abandonnée en bordure de route. Le lendemain, au retour, la voiture gît au même endroit, complètement calcinée, vraisemblablement incendiée durant la nuit.

Nous nous arrêtons pour manger dans une halte routière. Des ossements de kangourou, vestiges d’un festin aborigène, nous signalent que nous ne sommes que des invités dans cette plaine aride.


Urulu

A bord de notre mastodonte routier aux quatre roues motrices, j’anticipe avec sadisme devoir me frayer un chemin a travers des hordes de kangourous sauvages. N’en déplaise aux Hubert Reeves et Al Gore de ce monde, nous avalons les kilomètres à coup de vingt litres au cent. Heureusement que notre destination est un sanctuaire où nous pourrons expier nos excès et implorer ne pas avoir à rationner nos vivres pour nourrir le monstre.

En milieu d’après-midi, le monolithe rouge se dresse enfin devant nous. Il nous apparaît singulier, irréel, tout comme il le fut pour toutes les générations d’aborigènes qui l’ont vénéré. Les cartes postales ne lui rendent pas justice.

Yannick

Outback 1


Nous y sommes, mais pour arriver jusque Uluru, nous avons subi la chaleur étouffante depuis notre arrivée à Alice Springs. Une nuit passée au camping, nous avons traversé des paysages monotones et désertiques, sans l(ombre d’un kangourou vivant, quelques uns morts, mais par contre des dromadaires, des vaches.
La découverte du monolithe Uluru est impressionnante, superbe. Je vous laisse le découvrir.
On va poursuivre par la visite des Mts Olga.

La nuit passée à Yulara, on se lève sous la pluie et au fur et à mesure de la journée, le temps ne va pas nous aider.
On vous annonce qu’en plein Red Center o l’on devrait avoir des températures 35 ou 40°, c’est le froid humide, venteux et glacial d’un hiver à Saint-Malo : quelle déception !
On se contente de voir les Mts Olga du circuit voiture.
On retrourne vers le Nord et on dort dans un « free camping » mais il pleut tant que nous les « retraités » nous louons une chambre et les enfants dorment dans la voiture.

On vient d’arriver à Alice Springs mais là sous la canicule. Demin on prend le train : le Ghan

A un autre aventure.
Cléo

dimanche 9 décembre 2007

Honolulu

Une fois éclaircies les modalité de la poursuite de notre périple avec Air Canada (le sujet d’un prochain blog) nous avons décidé de mettre le nez dehors afin de profiter du côté positif de notre situation : nous sommes à Honolulu.

Comme Laëtitia a un début de mal de gorge, au lieu de déambuler au gré de nos envies nous tentons de localiser une pharmacie. N’ayant pas laissé a la maison mon sens de l’optimisation, et dans un soucis de joindre l’utile a l’agréable, je suggère que nous cherchions un Walgreen’s. (Ceux qui connaissent mon intérêt pour l’investissement savent que je détiens Walgreen’s, une chaîne de pharmacie américaine très connue, dans mon portefeuille). Coup de chance, on nous indique à l’accueil de l’hôtel qu’un Walgreen’s vient d’ouvrir ses portes à trois coins de rues il y a de cela à peine un mois.

Rendu sur place je suis satisfait de la présentation et surpris de l’abondance de personnel en magasin. Pour mousser l’esprit des fêtes (il faut faire des efforts supplémentaires dans les pays chauds), les préposés en magasin portent la tuque de Père Noël ce qui les rend facilement identifiables. Un employé qui m’entend tousser (je traîne une toux depuis quelques semaines) veut me guider dans la rangée des pastilles pour la toux. Quand le lui demande s’il a de l’oscillococcinum je sens que la partie n’est pas gagnée d’avance. L’homéopathie est un phénomène qui semble avoir totalement oublié les États-Unis dans son expansion internationale. Le préposé me réfère à la pharmacienne qui affiche le même regard livide à la prononciation du mot homéopathie (que j’ai savamment traduit par « homeopathy »).

Au moment où nous allons baisser les bras et repartir bredouille, Laëtitia aperçoit le fameux emballage du Laboratoire Boiron et s’écrie : « Yes ! Yes ! Yes ! ». La pharmacienne visiblement soulagée ne connait pas le produit qu’elle a pourtant en magasin ! Donnons-lui le bénéfice du doute puisque le magasin vient d’ouvrir ses portes…

Nous poursuivons notre promenade en ville. Des vendeurs de sapins de Noël font de bonnes affaires tandis que les arbres naturels sont gardés au frais dans des camions réfrigérés – climat oblige !

Les routes bosselées nous rappellent les nids-de-poule de Montréal. Malgré des bouches d’égout gigantesques à ciel ouvert (attention de ne pas y échapper votre nourrisson !) le drainage des rues semble incapable d’absorber les caprices de Mère Nature : il avait dû pleuvoir abondamment en matinée. Nous avons fait ce constat par nous-même : tandis que nous gambadons sous le soleil chaud de Hawaii, quelques gouttes de pluie viennent chatouiller nos peaux encore laiteuses. En moins de temps qu’il ne faut pour dire : « Tiens, il pleut », les gouttes se transforment en averse dilluvienne. Nous courons pour nous réfugier dans un stationnement couvert d’où nous pouvons regarder passer la pluie. Nous comprenons maintenant mieux pourquoi les plaques d’immatriculation Hawaiiennes arborent des arcs-en-ciel.

Nous marchons encore un peu, humant les effluves des platebandes fleuries qui ont tôt fait de nous faire oublier les congères de Terrebonne. Nous atteignons finalement la plage, que nous parcourons d’un pas lourd, les pieds nus, grisés par le soleil et le décalage horaire. Nous vibrons déjà au rythme des îles du Pacifique.

Yannick

Comment un grain de sable peut enrayer une machine !

Voilà au moment où j’ai composé ce début de message, nous avons vécu quelques heures depuis notre départ, tout était bien préparé dans ce voyage et le cours des choses le faisait penser. Nous avons quitté St Malo sachant que les québécois venaient de s’envoler de Vancouver pour Sydney via un arrêt à Honolulu (Iles Hawaï). Nous avons rejoint la gare de Rennes et le TGV nous a transporté en temps et en heure à Roissy. Nous avons pris le CGVAL (métro sans pilote qui relie en un temps record les 3 terminaux : quel changement !).

Il y avait des points WiFi mais cela faisait que 3 heures que les québécois s’étaient envolés, il y avait peu de chance que nous ayons des nouvelles d’eux. Je vous signale que les bornes Wi-FI de Roissy sont des petits bureaux où l’on peut connecter électriquement son portable et capter internet, ou même recharger son téléphone. Eh bien ! ces bureaux servent à pas mal de personnes de table de bouffe : les détritus restant bien sûr dessus !!!!!

Envol pour Bangkok à l’heure prévue, mais un voyage de 11 h dans l’avion, c’est long ! Gérard n’a pas dormi comme d’habitude avant le départ et non plus dans l’avion. J’ai sommeillé 1 h environ. Arrivée à l’heure à Bangkok : un aéroport tout neuf, superbe dans sa conception et avec des commerces à foison et d’une certaine classe dans les produits et dans la présentation, d’une propreté rare ! Roissy à côté c’est de la gnognote et surtout c’est froid, donc pas accueillant. Mais il a fallu marcher pendant des kms (pratiquement 2) et arrivés devant notre salle d’embarquement, il ne restait pas beaucoup de temps avant l’embarquement dans l’avion. Je cherchais en vain des bornes WI-FI et rien ! Finalement au bout d’un moment j’ai tenté en me disant qu’un si bel aéroport tout neuf ne pouvait pas avoir été conçu sans cela.

J’ai allumé le PC et j’ai trouvé une liaison WI-FI libre, mais le temps nous rapprochait de l’embarquement, après avoir essayé bêtement mon courriel sur mon logiciel de messagerie (évidemment cela ne peut fonctionner comme cela, j’aurais dû y penser plus tôt) je n’ai plus eu le temps d’ouvrir le site de ma boîte wanadoo sur le navigateur, nos places étant les dernières en queue d’avion, elles ont été appelées très vite et j’ai dû interrompre ma liaison.

Envol pour 9 h d’avion pour Sydney et toujours à l’heure ! Gérard n’y a toujours pas dormi et moi 1 h quand même. Sa mine se défaisait.

Restait notre arrivée à Sydney avec la récupération des bagages dont un objet encombrant en soute (le cerf volant de Matéo), le passage en douane aléatoire en durée et un train qu’il ne fallait pas rater : c’était le dernier pour rejoindre les québécois, en principe arrivés avant nous au camping.

Tout s’est bien passé à l’aéroport, nous avons eu du temps pour prendre le train et même avoir un peu d’avance pour faire nos changements (2 sur la ligne) sans stress. Obsédés par ce dernier train et persuadés que la mécanique de la préparation de nos arrivées paraissait infallible, il ne nous est pas venu à l’idée de consulter internet à l’aéroport et encore moins de se renseigner sur l’atterrissage d’Air Canada à 8h du matin. Fatigués par les vols et tirant nos 41 kg de bagages sans compter les sacs dos qui en faisaient 10 chacun, nous commencions à avoir hâte de retrouver, Léti, Yannick et Esteban. Après 1 h 30 de train avec 2 changements, nous arrivons à la gare de Vineyard (60 km NO de Sydney) en rêvant de voir Yannick nous attendant ou sur le chemin ou à l’entrée du camping pou nous y accueillir. Nous avons fait ces 2km500 à pied , sans voir l’ombre de notre rêve.

Et là le doute, la crainte et l’inconnu ont commencé à s‘installer. La réception fermée, il était 1h15 du matin, nous avons cherché un bungalow qui serait encore allumé (ses occupants endormis par la fatigue des 29 h de vol) et sans voiture devant. Rien, mais une personne téléphonant devant son bungalow, je me renseigne et il me désigne une cabine occupée sans voiture, c’est un jeune homme qui s’y trouve et il m’apporte son aide pour tenter de joindre les gardiens par téléphone et en sonnant pendant « des plombes ». 15 mn après, ils apparaissent. Au début de la conversation, notre anglais et notre accent sont si mauvais (faut pardonner en partie seulement par le stress et la fatigue) ils ne comprennent rien et je les soupçonnaient d’être atteint d’Alzheimer, car ils nous disaient qu’aucune location n’avait était faite chez eux !!!

Finalement, ils ont compris la situation et surtout l’inquiétude qui nous remplissait sur le devenir de nos enfants ! Ils nous ont affirmé qu’aucun crash n’avait été annoncé (encore heureux ! mais on se sentait mieux) et surtout que le matin il y avait eu de violents orages sur Sydney et que des avions avaient été détournés sur Melbourne. Je leur ai demandé si je pouvais utiliser leur ordinateur et consulter ma messagerie, ce qu’ils m’ont autorisée à faire. Et là, j’ai vu une succession de messages de Léti annonçant un retard. En fait un problème mécanique a cloué l’avion à Honolulu avec ses passagers, on leur a annoncé plusieurs fois des décollages dans les heures qui suivaient mais reportés sans cesse. Finalement à cette heure je ne peux que dire, selon leur dernier message reçu, qu’ils passaient la nuit à Honolulu et arrivaient à Sydney aujourd’hui samedi.

Nous avons rendez-vous 9h30 chez le gardien, pour reconsulter nos messages et se renseigner sur l’aéroport de Sydney, Honolulu ou Vancouver. Nous espérons aller les accueillir à l’aéroport.

Et demain dimanche nous reprenons l’avion pour Alice Springs (5 jours dans le désert rouge).

Espérons que nous y serons tous les 5.

Nous avons passé la nuit dans le bungalow, nous avons dormi, bercés par les coasements des grenouilles ou crapauds (un concert dans toute la campagne ici) mais pour ma part j’ai dormi juste 3 heures (Gérard un peu plus). Réveillée très tôt par les chants inconnus d’oiseaux comme à Nouméa.

Le lendemain matin donc : samedi, nous sommes allés lire nos messages, mais il n’y en avait pas. En consultant s vols sur le site de l’aéroport, il est signalé 2 atterrissages d’Air Canada à 5mintes d’intervalles dont l’un venant via Honolulu (8h30 & 8h35), pas question d’aller à Sydney, ils devaient être sur la route ! On se propose d’aller à la gare, le gardien noupropose de nous emmener, la consigne qu’il avait était de signaler où nous étionsen cas d’appel ou d’arrivée. On monte dans la voiture, et là on voit une jeune femme qui frappe à la fenêtre de la portière, je pensais qu’elle av ait quelque chose à dire au gardien, ms devinez ???? C’était Léti que je n’avais pas reconnue puisqu’elle n’a plus de lunettes J

Le taxi les amenait d’une gare.

Nous sommes tous soulagés.

Je leur laisse raconter leur version des faits dans un prochain message.

Voilà un début de voyage rebondissant en événements.

Bisous à tous.

RDV au prochain n° dans quelques jours (du désert peut-être).

dimanche 2 décembre 2007

Vous voulez voyager vous aussi ?


Faites le virtuellement en attendant de le faire réellement en utilisant Google Earth : un outil génial ! Si vous ne connaissez pas ? Alors un exemple pour vous ci-contre : Nouméa et le lieu de Résidence de Jérôme et Nelly

Cliquer ici, pour découvrir tout ce qu'on peut faire avec Google Earth Google Earth est gratuit, il s'installe sur votre ordinateur et vous pourrez alors naviguer au-dessus de la planète, quand vous voulez, où vous le souhaitez et à l'altitude qui vous plait !


Vous voulez l'installer vous aussi ? Alors cliquez sur le système de votre ordinateur (je vous mâche les recherches), vous n'êtes pas obligés de télécharger Google Pack (Pack de logiciels gratuits de Google comprenant Google Earth) mais vous contenter de Google Earth
pour Windows (ou Linux) c'est ici
pour Mac c'est là

Nous partons bientôt dans 3 jours pour les québécois et 4 jours pour les malouins.

A bientôt donc pour nos aventures sur le blog

vendredi 19 octobre 2007

Parcours


Voici le périple de notre voyage : avion - 4x4 - train - voiture - avion -

dimanche 14 octobre 2007

Nos 3 marsupiaux !

Donc au long du voyage nous aurons nos 3 marsupiaux : Matéo, Justine et Esteban
Posted by Picasa

Dans 2 mois !

Eh oui, dans moins de 2 mois, une partie de la tribu (6 sur 9) sera dans le pays des marsupiaux.
Dans 2 mois la tribu sera complète.
On parle de tribu car il y a :
  • les parents retraités depuis peu (Cléo et Gérard),
  • les enfants qui vivent au Canada (Laëtitia, Yannick et le petit Esteban - 3ans pour Halloween),
  • les enfants qui vivent en Calédonie et seront les derniers à nous rejoindre (Nelly, Jérôme, Matéo - 6 ans (bientôt), Justine 4 ans déjà.
C'est donc un superbe projet de réunion familiale.
A bientôt.